Photographe depuis trois générations, Philip Bernard prend le parti de suivre les pas de ses aïeux et étudie la photographie chez Jean-Pierre et Claudine Sudre (laboratoire photographique) de 1976 à 1977. Amoureux de la photographie argentique, de promenades et de nature, il donne à voir des images énigmatiques, entre rêve et réalité. L’artiste joue avec l’image, sa profondeur de champ, ses ombres et ses lumières, afin de capturer ces scènes oniriques.